Monteils (Aveyron)

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Monteils
Monteils (Aveyron)
Dans le village.
Blason de Monteils
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Ouest Aveyron Communauté
Maire
Mandat
Michel Delpech
2020-2026
Code postal 12200
Code commune 12150
Démographie
Gentilé Monteillois(e)
Population
municipale
475 hab. (2021 en diminution de 10,71 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 16′ 39″ nord, 1° 59′ 54″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 487 m
Superficie 17,19 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Villefranche-de-Rouergue
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aveyron et Tarn
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Monteils
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Monteils
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Monteils
Liens
Site web Monteils.fr

Monteils est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Monteils se trouve dans la vallée de l'Aveyron. La commune est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont La Fouillade, Najac, La Rouquette, Sanvensa et Castanet.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Plusieurs villages et lieux-dits dépendent de la commune de Monteils : c'est le cas de Floirac et des Fénials.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par l'Aveyron, et le village est traversé par l'Assou qui y conflue sur la commune.

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Monteils.

La commune est drainée par l'Aveyron, l'Assou, le ruisseau de Ferran, le ruisseau des millets, le ruisseau de Foissac, le ruisseau des Combes, le ruisseau des Fargues, par divers petits cours d'eau[2].

L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et se jette dans le Tarn à Barry-d'Islemade, après avoir arrosé 60 communes[3].

L'Assou, d'une longueur totale de 14 km, prend sa source dans la commune de Martiel et se jette dans l'Aveyron à Monteils, après avoir arrosé 6 communes[4].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[5],[6],[7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 926 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 898,8 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Statistiques 1991-2020 et records MONTEILS (12) - alt. : 268 m, lat : 44°15'56"N, lon : 1°59'30"E
Records établis sur la période du 01-12-1998 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 0,2 2,7 5,4 8,6 12 13,4 13 9,7 8,1 4,1 1 6,6
Température moyenne (°C) 5,1 5,7 8,9 11,9 15,3 19,3 21,2 20,9 17,4 14 8,8 5,6 12,8
Température maximale moyenne (°C) 9,4 11,1 15,1 18,4 21,9 26,6 28,9 28,9 25,1 20 13,5 10,3 19,1
Record de froid (°C)
date du record
−12,5
19.01.17
−15,7
06.02.12
−13,1
01.03.05
−6
08.04.21
−2,6
06.05.19
1,2
01.06.06
4,4
17.07.00
3,5
31.08.10
0
18.09.01
−4,9
29.10.12
−10,8
18.11.07
−14,9
24.12.01
−15,7
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
19,6
21.01.02
24,2
27.02.19
27,6
29.03.23
30,4
29.04.05
34,6
18.05.22
40,9
27.06.19
41
24.07.19
41,8
23.08.23
36,7
12.09.22
34,9
01.10.23
24,9
07.11.15
21,1
08.12.10
41,8
2023
Précipitations (mm) 78,3 62,4 67,5 92,3 87,5 72,7 54,5 63,1 72,8 81,3 84,3 82,1 898,8
Source : « Fiche 12150001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[14] : Les « Vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'étendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Monteils comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1],[16], la « Rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[17] et les « Vallées de la Baye, du jouyre, du ferran et de Fargues et puechs de Genibrous et mourtayrol » (2 797 ha), couvrant 8 communes dont 3 dans l'Aveyron et 5 dans le Tarn-et-Garonne[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[16], la « Vallée de l'Aveyron » (14 644 ha), qui s'étend sur 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Monteils est une commune rurale[Note 3],[20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Infrastructures et occupation des sols de la commune de Monteils.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), prairies (15,3 %), terres arables (11,8 %)[22].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment Ouest Aveyron Communauté, dont la commune est membre[23].

La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme était en élaboration[24].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Monteils est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[25],[26].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Zones inondables de la commune de Monteils.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de l'Aveyron. Un plan des surfaces submersibles (PSS), premier document cartographique réglementant l'occupation du sol en zone inondable pour les cours d'eau domaniaux, a été établi en 1964. Compte tenu du peu d’enjeux exposés à ces inondations, aucun plan de prévention du risque d’inondation n’a été prescrit[25]. Néanmoins la loi Barnier du confère aux PSS un statut de plan de prévention des risques (PPR ), les rendant par conséquent opposables au tiers et faisant entrer le territoire de la commune dans le champ d'application de l'obligation d'information des acquéreurs locataires[27].

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[28].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[25], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[29]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[30]

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Monteils est classée à risque moyen à élevé[32]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[33] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

En 50 av. J.-C., quand les Romains envahissent la Gaule, les coteaux d’Ardennes et du Rat sont déjà habités depuis fort longtemps. Plus aucune trace ne demeure de cette présence. Il faut attendre plusieurs siècles pour voir cette population traverser les zones marécageuses et s’installer rive droite de l’Assou, sur le petit monticule appelé « Monticellus ». Au fil des IXe et Xe siècles, en raison des multiples invasions, mais surtout aux XIIIe et XIVe siècles, le village se fortifie autour de la « maison seigneuriale ».

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au gré des différentes alliances ou mésalliances et autres luttes d’influence, Monteils abrite tout au long des XIVe et XVe siècles de nombreux seigneurs pour ensuite devenir propriété de Jean de Murat Seigneur de Lestang. Bien que conservant un rôle particulier pour les contributions, c’est au cours de cette période que le fief de Floirac passe sous la houlette de Monteils, alors que ce n’est qu’en 1830 que l’administration y rattache Courbières.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Tout au long du XVIIe siècle la famille de La Valette (fondateur de la capitale éponyme et de l’ordre de Malte) règne sur Monteils. Mis à part la décapitation d’une tour Renaissance (toujours visible), le village ne vit, dans tous les sens du terme, aucune révolution de grande ampleur au cours du XVIIIe siècle.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En revanche, de 1850 à 1950, et jusqu’à nos jours Monteils connaît un essor particulier. Le premier coup de pioche pour bâtir l’église actuelle est donné en 1866. La voie ferrée (avec ses 9 ponts et 9 tunnels 1853-1858), les ponts, et de nombreuses routes sont construits. Le Couvent est édifié (1888). L’eau, l’électricité, la poste, le télégraphe déchargent les villageois d’abondantes vicissitudes. Malgré leur caractère travailleur, les Monteillois ont longtemps et souvent côtoyé la pauvreté ou la misère. D’abord sous le joug de la féodalité, puis harassés d’impôts et desservis par des terres ingrates, c’est dans la vigne surabondante à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle que Monteils tire ses premières richesses. Suivra la culture du chanvre et donc la confection de toiles. Durant cette même période l’artisanat, le commerce se développent. Bien que la commune demeure à forte dominante agricole, les échoppes et les cabaretiers se multiplient, les foires (le 19 du mois) se poursuivent jusqu’au premier quart du XXe siècle. La population connaît des fortunes diverses, fluctuant au gré des disettes et des guerres elle s’accroît pourtant jusqu’à la fin du XIXe siècle. En 1882 la commune compte près de 1000 habitants. Les deux guerres et l’exode rural massif feront considérablement baisser ce nombre.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, deux religieuses dominicaines du couvent de Monteils ont caché des enfants juifs. Elles reçurent le titre de Justes parmi les nations en 2001[35].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Monteils est membre de la Ouest Aveyron Communauté[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Villefranche-de-Rouergue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[36].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aveyron et Tarn pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[37].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Monteils, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[38] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[39]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Sur les vingt-sept candidats en lice[40], quinze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[41]. Michel Delpech, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [42].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[43]. Un siège est attribué à la commune au sein de la Ouest Aveyron Communauté[44].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1852 1857 Jean-Antoine Iches    
1857 1864 Pierre-Clément Colombies    
1864 1874 Jean-Antoine Iches    
1874 1929 Frédéric Boutonnet   Notaire
1929 1953 Arthur Hebrard   Menuisier
1953 1971 Georges Delpérié    
1971 1989 Amédée Mercadier    
1989 2001 André Ravayrol    
2001 2014 Robert Alazard    
mars 2014 En cours Michel Delpech[45],[46]   Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise
Président de la Communauté de communes
Les données manquantes sont à compléter.

Autres élections[modifier | modifier le code]

Résultats pour la commune des scrutins français depuis 2000.
Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours.
Année Élu Battu Participation
2002 92,37 % Jacques Chirac RPR 7,63 % Jean-Marie Le Pen FN 80,54 % [47]
2007 41,58 % Nicolas Sarkozy UMP 58,42 % Ségolène Royal PS 89,08 % [48]
2012 63,10 % François Hollande PS 36,90 % Nicolas Sarkozy UMP 87,39 % [49]
2017 % Emmanuel Macron EM % Marine Le Pen FN % [50]
2022 % Emmanuel Macron LREM % Marine Le Pen RN % [51]
Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élu Battu Participation
Monteils (Aveyron) est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
Avant 2010, Monteils (Aveyron) est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats des .
2002 52,12 % Serge Roques UMP 47,88 % Jean-Pierre Pouzoulet PS 76,35 % [52]
2007 51,34 % Marie-Lou Marcel PS 48,66 % Serge Roques UMP 75,76 % [53]
Après 2010, Monteils (Aveyron) est répartie sur plusieurs circonscriptions, cf. les résultats de .
2012 63,23 % Marie-Lou Marcel PS 36,77 % Laurent Tranier UMP 70,29 % [54]
2017 % % % [55]
2022 % % % [56]
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores.
Année Liste 1re Liste 2e Participation
2004 37,02 % Abdelkader Arif LPS 19,85 % Alain Lamassoure LUMP 61,02 % [57]
2009 27,54 % Dominique Baudis LMAJ 16,10 % Kader Arif LSOC 54,70 % [58]
2014 % % % [59]
2019 % % % [60]
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores.
Année Liste 1re Liste 2e Participation
2004 55,62 % Martin Malvy PS 35,56 % Jacques Godfrain UMP 77,90 % [61]
2010 66,55 % Martin Malvy LUG 33,45 % Brigitte Bareges LMAJ 67,20 % [62]
2015 % % % [63]
2021 % % % [64]
Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élu Battu Participation
Monteils (Aveyron) est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
2001 % % indisponible %
2004 53,55 % Bernard Vidal DVG 30,18 % Jean-Louis Cance UDF 78,59 % [65]
2008 % % indisponible %
2011 63,27 % Bernard Vidal DVG 28,36 % Daniel Carrie DVD 64,65 % [66]
Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin.
Année Élus Battus Participation
Monteils (Aveyron) est répartie sur plusieurs cantons, cf. les résultats de ceux de .
2015 % % % [67]
2021 % % % [68]
Référendums.
Année Oui (national) Non (national) Participation
1992 70,63 % (51,04 %) 29,37 % (48,96 %) 78,70 % [69]
2000 74,47 % (73,21 %) 25,53 % (26,79 %) 72,68 % [70]
2005 56,00 % (45,33 %) 44,00 % (54,67 %) 80,09 % [71]


Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1771. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[73].

En 2021, la commune comptait 475 habitants[Note 5], en diminution de 10,71 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1771 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
643657782867816826902905901
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
9079389811 007988974973961989
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
976907786735710694648682618
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006
572496437404424490465519515
2010 2015 2020 2021 - - - - -
549532481475-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[74] puis Insee à partir de 2006[75].)
Histogramme de l'évolution démographique

On peut constater que depuis quelques années, grâce à une politique municipale dynamique et volontariste la tendance à la dépopulation a stoppé et semble même s’inverser sensiblement.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 219 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 462 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 170 [I 5] (20 640  dans le département[I 6]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 7] 5,4 % 4,9 % 3,8 %
Département[I 8] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 283 personnes, parmi lesquelles on compte 72,3 % d'actifs (68,5 % ayant un emploi et 3,8 % de chômeurs) et 27,7 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 10]. Elle compte 145 emplois en 2018, contre 160 en 2013 et 156 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 195, soit un indicateur de concentration d'emploi de 74,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,9 %[I 11].

Sur ces 195 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 56 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 83,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % les transports en commun, 3,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

44 établissements[Note 8] sont implantés à Monteils au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 44
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
9 20,5 % (17,7 %)
Construction 7 15,9 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
8 18,2 % (27,5 %)
Information et communication 1 2,3 % (1,5 %)
Activités immobilières 2 4,5 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
8 18,2 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
3 6,8 % (12,7 %)
Autres activités de services 6 13,6 % (7,8 %)

Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 20,5 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 44 entreprises implantées à Monteils), contre 17,7 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Bas Quercy, une petite région agricole occupant l'extrême-ouest du département de l'Aveyron[76]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 24 18 12 15
SAU[Note 11] (ha) 398 473 364 374

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 24 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 18 en 2000 puis à 12 en 2010[78] et enfin à 15 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 37 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[79],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 398 ha en 1988 à 374 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 17 à 25 ha[78].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge de Monteils.
  • Église Saint-Laurent de Floirac.
  • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié de la Borie.
  • Chapelle Saint-Dominique du monastère de Dominicaines d'Ardennes.
  • Ancienne forteresse. Subsistent encore à Monteils quelques vestiges de l'ancien château : une tour, une salle voutée et un porche.
  • Le couvent des Dominicaines.
  • Le château fort de Coubière, restauré et habité.
  • De nombreuses caselles et vieilles croix.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de la commune de Monteils

Les armes de la commune de Monteils se blasonnent ainsi :
De gueules à l’aigle essorante d’argent, au chef bastillé de trois pièces d’or chargé de trois molettes de gueules.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Bernard Vidal), Najac : La Folhada, Lunac, Montelhs, Sant-Vensa, Sent-Andriu, Vòrs e Bar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Najac, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 389 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-46-7, ISSN 1151-8375, BNF 38977008)
  • Pierre Blanc, Monteils: au pays de mes aïeux en Bas-Rouergue, le Livre d'histoire, coll. « Monographies des villes et villages de France », (1re éd. 1936) (ISBN 978-2-84373-360-4)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[77].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Monteils » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Monteils » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Monteils » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Monteils » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Monteils » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Fiche communale de Monteils », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  3. Sandre, « l'Aveyron »
  4. Sandre, « l'Assou »
  5. « EPAGE Aveyron amont », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Aveyron amont », sur gesteau.fr (consulté le ).
  7. site officiel du SMB2
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  11. « Station Météo-France commune de Monteils) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  61. Résultats des élections régionales de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
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  63. Résultats des élections régionales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  64. Résultats des élections régionales de 2021 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  65. Résultats des élections cantonales de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  66. Résultats des élections cantonales de 2011 sur le site du ministère de l’Intérieur.
  67. Résultats des élections départementales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
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  69. Résultats des élections référendaires de 1992 sur le site PolitiqueMania.
  70. Résultats des élections référendaires de 2000 sur le site PolitiqueMania.
  71. Résultats des élections référendaires de 2005 sur le site PolitiqueMania.
  72. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  73. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  74. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  75. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  76. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  77. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  78. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Monteils - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  79. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de l'Aveyron » (consulté le ).